Un jour du mois de mai d’il y a plusieurs dizaines d’année, le Dirigeant Kim Jong Il a appelé un fonctionnaire dans son bureau et s’est informé de l’état de fourniture des légumes aux habitants de Pyongyang ces jours-là. Informé de l’état de la part de ce fonctionnaire, il lui a demandé comment il a saisi cette matière.

Ayant entendu qu’il a saisi ce rapport à travers des organismes intéressés, il lui a demandé de nouveaux s’il a tourné une fois les boutiques de marchands des légumes de la ville de Pyongyang.

Ayant entendu qu’il a tourné seulement les boutiques de l’arrondissement central, Kim Jong Il lui a persuadé en disant comme ce qui suit : On ne peut pas savoir concrètement la réalité, assis dans le bureau en synthétisant seulement les chiffres envoyés en bas, et en tournant, tout au plus, quelques boutiques qui se trouvent à côté du bureau. Avec seulement cet état de fourniture des légumes, je peux savoir combien nos fonctionnaires ont l’attention sur la vie du peuple. Il ne faut pas voir seulement les matériaux envoyés en bas, mais il faut aller directement à la réalité pour s’enquérir de l’état réel.

Ce fonctionnaire est tout de suite allé à plusieurs boutiques de marchands des légumes et aux fermes dans plusieurs secteurs de la ville et a informé la réalité telle quelle à Kim Jong Il.

Et, ce dernier lui a dit : Voilà, pourquoi nous faisons la révolution ? C’est pour bien faire manger, pour bien habiller, et pour faire mener une vie plus heureuse au peuple, n’est-ce pas ? Si juste que soit la politique du Parti, et si correctes soient les mesures, mais si l’attitude des fonctionnaires n’est pas bien établie, alors nous ne pouvons pas résoudre de façon satisfaisante le problème de la vie du peuple.