Parmi les gens de notre époque qui ont conservé le sentiment admirable se trouve Mme Ryang Un Hye, maîtresse de l’école secondaire du premier cycle de Jinhung, arrondissement de Moranbong, ville de Pyongyang, qui a fait améliorer la maladie de l’élève Kim Chong Yang qui n’écoutait, ni parlait à cause de la trouble d’acuité auditive par la réaction secondaire des médicaments.

Trois ans auparavant qu’était le premier avril 2021, Ryang Un Hye, enseignante de la musique et de la danse qui était entrée à la classe No 11 de la première année, s’est rendue compte contre toute attente qu’une élève, grande et belle, ne pouvait parler et ni écouter.

Devant le fait que cette fille grande et qui se fait porter l’affection à la vue a été handicapée, la maîtresse avait le cœur gros et une grosse pitié.

Un jour, la mère de Kim Chong Yang est venue pour rencontrer Ryang Un Hye.

La mère a dit que sa fille qu’elle a accouché 10 ans après le mariage avait la trouble d’acuité auditive à l’âge de 2 ans par la réaction secondaire des médicaments, et jusqu’à son âge de 12 ans, elle n’a jamais entendu le mot maman.

Et elle a dit comme ceci : Je n’ai pas envoyé ma fille à l’école des handicapés mais à l’école proche de ma maison dans un espoir que ma fille, qui n’est pas handicapée à l’origine, ne serait-elle pas récupérée si elle avait des relations avec les enfants ordinaires.

Ce disant, elle a demandé d’accepter Chong Yang dans le cercle de la musique et de la danse.

C’était une histoire vraiment angoissante d’une mère d’élève, et étant elle-même parent, Ryang Un Hye avait mal au cœur, mais elle ne pouvait pas en répondre de bon cœur. Car, accepter la petite Chong Yang dans le cercle de la music et de la danse où les enfants doivent chanter et danser accompagnés à la musique, lui provoquait avant tout une crainte si cela ne donnerait de plus grande blessure à Chong Yang.

Ce soir-là, Ryang Un Hye ne pouvait pas s’endormir à côté de son fils endormi profondément.