Ce tableau est le ssirum (lutte coréenne) dessiné par Kim Hong Do (1745- ?), qui était le peintre célèbre de la Corée du 18^e siècle.

En effet, le ssirum coréen est une épreuve sportive propre à la nation coréenne qui a été largement effectuée depuis longtemps. On peut savoir clairement l’origine de longues histoires de ssirum coréen par les aspects des lutteurs gravés dans les anciens tombeaux ornés de peintures murales de Coguryo (277av. J.C. – 668 A.D.) et par l’enregistrement concernant le ssirum dans les anciens livres d’histoire.

Dans les fêtes folkloriques, il y avait l’épreuve de ssirum de grande envergure. Les gens sans distinction d’âge et de sexe ont été réunis au terrain de ssirum, et le site d’épreuve a été en pleine effervescence par les échauffourées et par la chaleur d’encouragement. A celui qui a gagné le premier, on a donné un bœuf comme prix.

Le ssirum de Corée qui a ainsi une longue histoire et une longue tradition, est poussé et soutenu activement aujourd’hui même en RPD de Corée. Chaque année, à l’occasion de chusok (le quinzième jour du huitième mois du calendrier lunaire), se tient en prospérité le match de ssirum national pour obtenir un grand bœuf.

Le ssirum coréen est enregistré dans la liste de l’héritage culturel intangible représentatif de l’humanité dans la 13^e conférence du comité gouvernemental pour la protection des héritages culturels intangibles de l’UNESCO tenue au mois de novembre 2018 au Maurice.